A une heure de la grande métropole chinoise de Chengdu, M. Chen développe depuis 3 ans une ferme fonctionnant sur le système dit des « aquaponics ». Une méthode qui prouve que les poissons peuvent avoir la main… ou plutôt, la nageoire verte.
25 juillet 2016. Alors que s’achève notre périple dans le Xinjiang ouïghour, nous nous rendons dans le Gansu, où nous nous apprêtons à faire la rencontre d’un peuple que la Chine considère comme une autre de ses minorités : les Tibétains. Une expérience intense, profonde, qui pose de nombreuses questions, tant spirituelles, culturelles que politiques.
20 juillet 2016. Pour mieux connaître l’étendue d’un domaine, on peut en questionner les limites. C’est ce qui nous a conduit à Ürümqi, capitale de la province autonome du Xinjiang, à l’extrême ouest de la Chine. D’Ürümqi, on dit qu’elle est la ville d’Asie la plus éloignée de toute mer, le point central du continent. Tout un symbole.
13 juillet 2016. Il est le symbole du voyage, du temps qui passe, du rêve et des pensées qui défilent comme des paysages : le train. Mais cette représentation est-elle vraie lorsqu’il s’agit de traverser la Chine d’Est en Ouest, sur un siège dur, durant 40 heures ? C’est ce que nous nous apprêtons à découvrir alors que nous embarquons pour le trajet Beijing – Ürumqi (province du Xinjiang).
11 juillet 2016. La Chine. Son seul nom suscite le mystère et la fascination. Elle incarne, pour nous, et plus encore que le Japon, l’Extrême-Orient. Dès que nous foulons le tarmac de l’aéroport international de Pékin, le sol de ce continent eurasiatique que nous avons quitté en mars dernier, le caractère à la fois proche et déconcertant de la Chine nous frappe.