Il est loin, le temps où le français tenait lieu de seconde langue au sein de la « haute société » russe. Pourtant, si l’on tend l’oreille, quelques échos francophones semblent résonner encore, quelque part, au creux des vagues de Vladivostok…
30 septembre 2016. Au terme de quelques 9 200 kilomètres et de tant de rencontres à bord du Transsibérien, le train centenaire qui remonte le temps atteint son terminus au petit matin.
23 septembre 2016. Après trois jours et quatre nuit sur les rails, quelque part entre nous même et l’immensité russe, nous arrivons en gare d’Irkoutsk. « Padam ! Padam ! Padam ! » entonne, à nos côtés, Monsieur Andréi, en nous accompagnant jusqu’au bout du quai.
14 septembre 2016. En arrivant sur le quai numéro 7 de la gare de Yaroslavsky à Moscou, nous dépassons une locomotive coiffée d’une étoile rouge, tout droit sortie de l’ère soviétique, et embarquons à bord de ce qui résonne en nous depuis longtemps comme un rêve sur rails : le Transsibérien. Notre périple est divisé en deux segments : Moscou – Irkoutsk (4 nuits), puis Irkoutsk – Vladivostok (3 nuits) après une étape au bord du Lac Baïkal.
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14 septembre 2016. Avec en tête les images vieillies d’interminables parades militaires sur la Place Rouge, nous arrivons à Moscou. Moscou : la Ville du Kremlin, la véritable capitale politique et économique de l’URSS puis de la Fédération de Russie, l’ultime prise de guerre de Napoléon… Lire la suite
L’association Дети Павловска (« Kids of Pavlovska »), créée il y a seulement 3 ans à Pavlovsk, en périphérie de Saint-Pétersbourg, est un train de relever un défi : construire une vision positive du handicap dans un pays où la question a longtemps été tabou, œuvrer pour l’insertion de personnes handicapées, et développer un modèle économique original.